Vous pensiez que la vraie aventure commençait une fois arrivé à destination ?
Raté. En ville, le vrai défi, c’est de trouver une place. Bienvenue dans le classement (pas très envié) des 5 villes françaises où les galères de stationnement en ville atteignent des sommets.
1. Paris : La ville lumière… sans clignotant
lus de 70 000 places supprimées ces dernières années. À Paris, les places disparaissent plus vite que les croissants aux réunions.
Entre les zones piétonnes, les livraisons et les marquages temporaires, les galères de stationnement en ville y deviennent sport olympique. Et après 19h ? Bonne chance.
2. Lyon : L’attente en double file, un art de vivre
Avec 6 000 places en moins et un taux d’occupation supérieur à 95 %, stationner à Lyon, c’est un peu comme jouer à la chaise musicale… sans musique.
Les riverains tournent, les visiteurs prient, et personne ne gagne vraiment.
3. Bordeaux : Le vin est bon, la place rare
30 % de places envolées en 10 ans. Le centre-ville bordelais, charmant à pied, devient une jungle dès qu’il faut se garer.
Un petit tour dans les rues pavées ? C’est surtout un grand tour de désespoir.
4. Nice : Carte postale et stationnement saturé
Entre mer, soleil et files de voitures, Nice ne fait pas dans la dentelle.
Les parkings affichent souvent complet, et les places en voirie sont aussi rares qu’une table au bord de l’eau un 14 juillet.
5. Toulouse : Moins de places, plus de pression
À Toulouse, les chiffres parlent : moins de places, un taux d’occupation élevé, et une vraie tension dans le centre. Résultat : des galères de stationnement en ville à tous les étages – surtout ceux du Capitole.
Vous perdez 20 minutes à tourner pour vous garer ? Nous, on a transformé ce temps perdu… en une appli.
Chez Tata Place, on s’est dit que c’était absurde de chercher une place en 2025 comme on le faisait en 1995.
- Alors on a créé le réflexe malin : Vous ouvrez l’appli
- Vous réservez une place chez un particulier ou un pro
- Et vous arrivez, serein, pendant que d’autres tournent encore au ralenti
C’est simple. C’est concret. Et ça change vraiment la vie en ville.